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157
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11-230414-5624
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3/05/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 2,4,6,11), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet également de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne) et Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier).
De même, on retrouve une nette sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, une sensibilisation au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur. On retrouve de même une sensibilisation à la lipocaline du chien (Can f 1). Cette dernière protéine est associée à des réactions croisées aux autres animaux.
Ensuite, la sensibilisation à la protéine du chien, Can f 5, est mise en évidence. Cet allergène est reconnu par un grand nombre de patients allergiques au chien. Can f 5 complète Can f 1 et Can f 2 pour évaluer le risque clinique d’une allergie au chien. La réactivité croisée entre Can f 5 et la PSA humaine est associée à l’allergie au liquide séminal. La polysensibilisation peut être associée à des symptômes respiratoires graves
Enfin, il y a une sensibilisation pour la moisissure Cladosporium retrouvée dans l'environnement intérieur et extérieur.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
- Panallergènes :
Le microarray met en évidence une sensibilisation à l'une des profilines représentées dans le panel, à savoir Mer a 1 (mercuriale). Comme vous le savez, les profilines sont des panallergènes rarement associés à des symptômes mais peuvent avoir une importance clinique et même provoquer des réactions sévères chez une petite minorité de patients allergiques notamment au citron, au melon, à la banane, au litchi et à la tomate.
- Divers :
La méthode retrouve une sensibilisation aux déterminants carbohydrates (CCD), via MUX-F3, qui sont responsables de faux positifs in-vitro sans avoir de réelle pertinence clinique. Ces CCD peuvent induire en erreur l'interprétation des résultats d'IgE spécifiques dirigés contre des protéines natives ou des extraits naturels. Ainsi, il est très intéressant de savoir qu'un patient est sensibilisé aux CCD.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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846
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11-230210-5683
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10/02/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 2,4,6), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1). De même, la technique permet de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1.
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 2 et Der f 2.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit
- Divers :
La méthode retrouve une sensibilisation aux déterminants carbohydrates (CCD), via MUX-F3, qui sont responsables de faux positifs in-vitro sans avoir de réelle pertinence clinique. Ces CCD peuvent induire en erreur l'interprétation des résultats d'IgE spécifiques dirigés contre des protéines natives ou des extraits naturels. Ainsi, il est très intéressant de savoir qu'un patient est sensibilisé aux CCD.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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532
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11-220121-0022
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21/01/2022
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1) et mineurs (Phl p 2 et 4), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia), Cry j 1 du Cèdre du Japon et Cup a 1 du Cyprès.
De même, on retrouve une nette sensibilisation à l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur.
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve une sensibilisation à Lep d 2 (un acarien de stockage).
Enfin, il y a une sensibilisation pour la moisissure Alternaria (Alt a 1).
- Allergènes alimentaires :
Une sensibilisation aux différentes protéines de transfert lipidique (LTP) est mise en évidence via cette technique.
En effet, des IgE dirigés contre 8 protéines de cette famille (d'origines variées : arachide, noisette, froment, platane, noix, pêche, olivier et armoise) sont retrouvés à des taux importants. Il est très important de faire évaluer cette sensibilisation chez un allergologue puisqu'une éviction alimentaire des aliments est parfois à initier lorsque des symptômes cliniques sont associés à leur consommation. En effet, l'allergie aux LTP est associée à la survenue de symptômes sévères an cas de consommation d'aliments crus ou cuits. Un suivi est important à mettre en route.
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja) et Ara h 8 (de l'arachide). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
La technique met également en évidence une faible sensibilisation aux allergènes du lait de vache (Bos d 5 et la lactoferrine).
Enfin, la technique retrouve une faible sensibilisation à l'allergène du Kiwi Act d 2. Act d 2 est une protéine thaumatine-like (TLP) dont la prévalence de réactivité reste discutée. Les symptômes sévères après ingestion de kiwi sont, en général, associés à des niveaux élevés d'IgE à Act d 1 et Act d 3. Néanmoins, des cas d'allergie sévère dont l'origine serait une TLP ont été décrits pour divers aliments d'origine végétale.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Nous recommandons un suivi chez un allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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493
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11-220324-0349
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24/03/2022
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation à l'un des allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1) ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia).
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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196
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11-220408-0252
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8/04/2022
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 2,4).
La technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia).
La technique permet également de mettre en évidence une sensibilisation au pollen d'Armoise, une herbacée.
De même, on retrouve une sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, une sensibilisation au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur et ensuite à la lipocaline du chien (can f 1). Cette dernière protéine est associée à des réactions croisées aux autres animaux.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Une sensibilisation à l'une des protéines de transfert lipidique (LTP) est mise en évidence via cette technique.
En effet, des IgE dirigés contre la LTP de la noix (Jug r 3) est retrouvée. Il est très important d'évaluer chez un allergologue s'il y a lieu d'évaluer une éviction alimentaire lorsque des symptômes cliniques sont associés à leur consommation. En effet, l'allergie aux LTP est associée à la survenue de symptômes sévères an cas de consommation d'aliments crus ou cuits.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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555
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11-220413-0137
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13/04/2022
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 2,4,6,11 et 12), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia) et Cup a 1 du Cyprès.
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au pollen de Chénopode, une herbacée.
De même, on retrouve une nette sensibilisation à l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur.
Enfin, il y a une sensibilisation pour la moisissure Aspergillus fumigatus (Asp f 3).
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
- Panallergènes :
Le microarray met en évidence une sensibilisation aux différentes profilines représentées dans le panel, à savoir Bet v 2 (du bouleau), Hev b 8 (du latex), Mer a 1 (de la mercuriale) et Phl p 12 (de la fléole). Comme vous le savez, les profilines sont des panallergènes rarement associés à des symptômes mais peuvent avoir une importance clinique et même provoquer des réactions sévères chez une petite minorité de patients allergiques notamment au citron, au melon, à la banane, au litchi et à la tomate.
- Divers :
La méthode retrouve une sensibilisation aux déterminants carbohydrates (CCD), via MUX-F3, qui sont responsables de faux positifs in-vitro sans avoir de réelle pertinence clinique. Ces CCD peuvent induire en erreur l'interprétation des résultats d'IgE spécifiques dirigés contre des protéines natives ou des extraits naturels. Ainsi, il est très intéressant de savoir qu'un patient est sensibilisé aux CCD.
Je reste à votre disposition pour répondre à toutes vos requêtes.
Bien confraternellement,
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1466
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11-231109-0440
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9/11/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation à l'un des allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1).
La technique permet de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1.
De même, on retrouve une nette sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, une sensibilisation au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur et sa lipocaline (Fel d 4). Cette dernière protéine est associée à des réactions croisées aux autres animaux comme le chien, le cheval (Equ c 1) et la souris (Mus m 1).
Ensuite, la sensibilisation à la protéine du chien, Can f 5, est mise en évidence. Cet allergène est reconnu par un grand nombre de patients allergiques au chien. Can f 5 complète Can f 1 et Can f 2 pour évaluer le risque clinique d’une allergie au chien. La réactivité croisée entre Can f 5 et la PSA humaine est associée à l’allergie au liquide séminal. Les atteintes respiratoires sont d'autant plus sévères que le nombre de sensibilisations est important.
- Allergènes alimentaires :
Enfin, la technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1522
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11-220922-0401
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22/09/2022
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 2,6), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1 ainsi qu'au pollen de Soude, une herbacée.
De même, on retrouve une nette sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, une sensibilisation au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur et à la lipocaline du chien (Can f 1). Cette dernière protéine est associée à des réactions croisées aux autres animaux comme le chat, le cheval et la souris.
Ensuite, la sensibilisation à la protéine du chien, Can f 5, est mise en évidence. Cet allergène est reconnu par un grand nombre de patients allergiques au chien. Can f 5 complète Can f 1 et Can f 2 pour évaluer le risque clinique d’une allergie au chien. La réactivité croisée entre Can f 5 et la PSA humaine est dans de rares cas associée à l’allergie au liquide séminal. La polysensibilisation peut être associée à des symptômes respiratoires graves.
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1 mais également à Blomia tropicalis (Blo t 5).
- Allergènes alimentaires :
Une sensibilisation à différentes protéines de transfert lipidique (LTP) est mise en évidence via cette technique.
En effet, des IgE dirigés contre 5 protéines de cette famille (d'origines variées : arachide, noisette, platane, noix, pêche) sont retrouvés à des taux importants. Il est très important de maintenir une éviction alimentaire totale des aliments contenant des LTP lorsque des symptômes cliniques sont associés à leur consommation. En effet, l'allergie aux LTP est associée à la survenue de symptômes sévères en cas de consommation d'aliments crus ou cuits.
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur . Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Enfin, une forte sensibilisation à l'allergène du Kiwi Act d 2 est mise en évidence. Act d 2 est une protéine thaumatine-like dont la prévalence de réactivité reste discutée. Les symptômes sévères après ingestion de kiwi sont, en général, associés à des niveaux élevés d'IgE à Act d 1 et Act d 3. Néanmoins, des cas d'allergie sévère dont l'origine serait une TLP ont été décrits pour divers aliments d'origine végétale.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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227
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11-220923-0128
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21/09/2022
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
La technique permet de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1 ainsi qu'une faible sensibilisation à la Soude, une herbacée.
De même, on retrouve une nette sensibilisation à l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur.
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve également quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1, Der p 2, Der f 2.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1561
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11-221130-0069
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28/11/2022
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineur (Phl p 2), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
Ensuite, la technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia), Cry j 1 du Cèdre du Japon et Cup a 1 du Cyprès.
De même, on retrouve une nette sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, une sensibilisation au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur et sa lipocaline (Fel d 4). Cette dernière protéine est associée à des réactions croisées aux autres animaux comme, ici, le cheval (Equ c 1) et la souris (Mus m 1). Les atteintes respiratoires sont d'autant plus sévères que le nombre de sensibilisations est important.
La technique de microarray retrouve également quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 2 et Der f 2.
- Allergènes alimentaires :
La méthode permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Une sensibilisation aux allergènes de type parvalbumine est démontrée par la positivité des IgE spécifiques du cabillaud (Gad c 1). Etant donnés les symptômes parfois sévères associés à ce type de sensibilisation, l'éviction des poissons est à évaluer. Une prise en charge allergologique est vivement recommandée.
Enfin, cette technique permet de mettre en évidence une sensibilisation à 2 protéines de stockage des fruits à coque.
En effet, la sensibilisation concerne des 2S-albumine, originaires de la noix et la noix du Brésil. De par l'allergénicité de ces protéines (stabilité à la chaleur et à la digestion), une éviction alimentaire est parfois recommandée. Néanmoins, ces résultats sont à confronter à la clinique du patient.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1043
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11-221212-0035
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12/12/2022
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 2,4,6,11), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
Ensuite, la technique permet de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1, ainsi qu'une sensibilisation à la Bêta 1,3-Glucanase du pollen de l'olivier (Ole e 9). On trouve, en plus du latex, ce genre de protéines dans divers aliments végétaux. Ainsi, des "homologies" auraient été décrites chez la banane, la tomate et le poivron mais aussi chez le frêne et le bouleau. Néanmoins, la réalité d’une réactivité entre Ole e 9 et protéines ou allergènes alimentaires n’est pas fermement établie. La positivité pour Ole e 9 augmente avec le degré d’exposition au pollen d’olivier. On attribue à ces positivités un risque accru d’asthme.
De même, la technique permet de mettre en évidence quelques sensibilisations aux pollens d'herbacées (Chénopode et Pariétaire).
On retrouve également une nette sensibilisation à l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur.
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1, Der p 2, Der f 2.
- Allergènes alimentaires :
Une sensibilisation à la protéine de transfert lipidique de la pêche est mise en évidence via cette technique. Il est recommandé de confronter ce résultat à la clinique du patient avant toute éviction alimentaire. En effet, l'allergie aux LTP est associée à la survenue de symptômes sévères en cas de consommation de l'aliment cru ou cuit.
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Enfin, la technique met également en évidence une faible sensibilisation à l'un des allergènes de l'oeuf (Gal d 1). Il est intéressant de noter que des IgE spécifiques dirigés contre l'ovomucoide de l'oeuf existent. En effet, ces allergènes seraient associés à une persévérance de l'allergie dans le temps.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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572
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11-221220-0235
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19/12/2022
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1) et mineurs (Phl p 4), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet, de même, de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1.
- Allergènes alimentaires :
Enfin, la technique permet de mettre en évidence une sensibilisation protéines PR-10 qui ont la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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610
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11-230116-0400
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16/01/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 2,4,6 et 11), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1). La technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia), Cry j 1 du Cèdre du Japon et Cup a 1 du Cyprès.
De même, on retrouve une nette sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, une sensibilisation au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur.
Ensuite, la sensibilisation à la protéine du chien, Can f 5, est mise en évidence. Ces deux allergènes sont généralement impliqués dans les allergies respiratoires. Can f 5 est reconnu par un grand nombre de patients allergiques au chien. Can f 5 complète Can f 1 et Can f 2 pour évaluer le risque clinique d’une allergie au chien. La réactivité croisée entre Can f 5 et la PSA humaine est associée à l’allergie au liquide séminal.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
- Panallergènes :
Le microarray met en évidence une sensibilisation aux différentes profilines représentées dans le panel, à savoir Bet v 2 (du bouleau), Hev b 8 (du latex), Mer a 1 (de la mercuriale). Comme vous le savez, les profilines sont des panallergènes rarement associés à des symptômes mais peuvent avoir une importance clinique et même provoquer des réactions sévères chez une petite minorité de patients allergiques notamment au citron, au melon, à la banane, au litchi et à la tomate.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1116
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11-230117-0128
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12/01/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au pollen de Pariétaire, une herbacée.
- Allergènes alimentaires :
Une sensibilisation à différentes protéines de transfert lipidique (LTP) est mise en évidence via cette technique.
En effet, des IgE dirigés contre 2 protéines de cette famille (arachide et pariétaire) sont retrouvés.
L'allergie aux LTP est parfois associée à la survenue de symptômes sévères an cas de consommation d'aliments crus ou cuits.
Une attention est donc probablement à apporter pour les fruits à coques (à investiguer!).
Une faible sensibilisation à l'allergène du Kiwi Act d 1 est retrouvée. Les symptômes sévères après ingestion de kiwi sont, en général, associés à des niveaux élevés d'IgE à Act d 1 et Act d 3.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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967
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11-230309-0383
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9/03/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 2,4,6), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet de mettre en évidence quelques sensibilisations aux pollens d'arbres via Cry j 1 du Cèdre du Japon et Cup a 1 du Cyprès mais également à la Soude, une herbacée.
De même, l'ImmunoCAP ISAC retrouve une sensibilisation à la moisissure Alternaria (Alt a 1).
Ensuite, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1, Der p 2, Der f 2 mais également à Lep d 2 (un acarien de stockage) ainsi qu'à Blomia tropicalis (Blo t 5).
- Allergènes alimentaires :
Une sensibilisation aux différentes protéines de transfert lipidique (LTP) est mise en évidence via cette technique.
En effet, des IgE dirigés contre 7 protéines de cette famille (d'origines variées : arachide, noisette, froment, platane, noix, pêche, armoise) sont retrouvés à des taux importants. Il est parfois nécessaire d'envisager l'éviction alimentaire des aliments contenant ces LTP lorsque des symptômes cliniques sont associés à leur consommation.
En effet, l' "allergie" aux LTP est associée à la survenue de symptômes sévères an cas de consommation d'aliments crus ou cuits.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
- Divers :
La méthode retrouve une sensibilisation aux déterminants carbohydrates (CCD), via MUX-F3, qui sont responsables de faux positifs in-vitro sans avoir de réelle pertinence clinique. Ces CCD peuvent induire en erreur l'interprétation des résultats d'IgE spécifiques dirigés contre des protéines natives ou des extraits naturels. Ainsi, il est très intéressant de savoir qu'un patient est sensibilisé aux CCD.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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32
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11-230511-0411
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11/05/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
La technique permet de mettre en évidence quelques sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia).
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 2, Der f 2.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1626
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11-230601-0061
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1/06/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1, Der p 2, Der f 2.
Ensuite, la technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Une sensibilisation à différentes protéines de transfert lipidique (LTP) est mise en évidence via cette technique.
En effet, des IgE dirigés contre 5 protéines de cette famille (d'origines variées : arachide, noisette, platane, noix, pêche) sont retrouvés à des taux élevés.
Il est très important de maintenir une éviction alimentaire totale des aliments contenant des LTP lorsque des symptômes cliniques sont associés à leur consommation.
En effet, l'allergie aux LTP est associée à la survenue de symptômes sévères an cas de consommation d'aliments crus ou cuits.
A prendre en charge avec un allergologue !
On retrouve une forte sensibilisation à l'allergène du Kiwi Act d 2.
Act d 2 est une protéine thaumatine-like dont la prévalence de réactivité reste discutée.
Les symptômes sévères après ingestion de kiwi sont, en général, associés à des niveaux élevés d'IgE à Act d 1 et Act d 3.
Néanmoins, des cas d'allergie sévère dont l'origine serait une TLP ont été décrits pour divers aliments d'origine végétale.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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808
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20-230605-0049
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5/06/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation à l'un des allergènes « mineurs » de la Phléole des prés (Phl p 4).
Ensuite, la technique permet de mettre en évidence une faible sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1.
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve également quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Enfin, comme vous le verrez, cette technique permet de mettre en évidence une sensibilisation à diverses protéines de stockage des fruits à coque et légumineuses.
En effet, la sensibilisation concerne aussi bien des 2S-albumine, 7S globuline, glycinine et conglutine originaires du soja et de l'arachide. De par l'allergénicité de ces protéines (stabilité à la chaleur et à la digestion), une éviction alimentaire est souvent recommandée. Néanmoins, ces résultats sont à confronter à la clinique du patient.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1631
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11-230609-0158
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8/06/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 2,4,6 et 11), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1.
De même, on retrouve une nette sensibilisation à l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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415
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11-230617-0019
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17/06/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation à l'un des allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1) et mineurs (Phl p 4).
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation aux pollens d'arbres (bouleau et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1 et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia).
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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679
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11-230628-0432
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26/06/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
La technique permet de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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96
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11-230710-0277
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10/07/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1) et mineurs (Phl p 4).
La technique permet de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1.
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 2, Der f 2.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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561
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11-230711-0015
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6/07/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
La technique permet de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1 ainsi qu'une sensibilisation à l'olivier via Ole e 1. Cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia.
De même, on retrouve une nette sensibilisation à l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur.
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1, Der p 2, Der f 2.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri).
Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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563
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11-230807-0329
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7/08/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation à l'un des allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1) et mineurs (Phl p 4), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1.
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1, Der p 2, Der f 2.
De même, on retrouve une nette sensibilisation à l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur.
- Allergènes alimentaires :
En ce qui concerne les fruits de mer, il est important de noter que votre patient est sensibilisé aux différentes tropomyosines, comme celle de la crevette (Pen m 1), de l'acarien (Der p 10), de la blatte (Bla g 7) et de l'Anisakis (Ani s 3). De par l'allergénicité de ces protéines, en fonction de la clinique du patient, l'éviction de fruits de mer est parfois à considérer.
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1649
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11-230810-0005
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8/08/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1) et mineurs (Phl p 4), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia), Cry j 1 du Cèdre du Japon et Cup a 1 du Cyprès.
De même, on retrouve une nette sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, une sensibilisation au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur et sa lipocaline (Fel d 4). Cette dernière protéine est associée à des réactions croisées aux autres animaux comme le chien, le cheval et la souris. Les atteintes respiratoires sont d'autant plus sévères que le nombre de sensibilisations est important.
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1, Der p 2, Der f 2.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Ara h 8 (de l'arachide). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
La méthode retrouve une sensibilisation aux déterminants carbohydrates (CCD), via MUX-F3, qui sont responsables de faux positifs in-vitro sans avoir de réelle pertinence clinique. Ces CCD peuvent induire en erreur l'interprétation des résultats d'IgE spécifiques dirigés contre des protéines natives ou des extraits naturels. Ainsi, il est très intéressant de savoir qu'un patient est sensibilisé aux CCD.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1192
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11-230818-0228
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18/08/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 2,4,6,11), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia), Cry j 1 du Cèdre du Japon et Cup a 1 du Cyprès.
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation à la Chénopode, une herbacée.
De même, on retrouve une nette sensibilisation à l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
- Panallergènes :
Le microarray met en évidence une sensibilisation aux différentes profilines représentées dans le panel, à savoir Bet v 2 (du bouleau), Hev b 8 (du latex), Mer a 1 (de la mercuriale) et Phl p 12 (de la fléole). Comme vous le savez, les profilines sont des panallergènes rarement associés à des symptômes mais peuvent avoir une importance clinique et même provoquer des réactions sévères chez une petite minorité de patients allergiques notamment au citron, au melon, à la banane, au litchi et à la tomate.
- Divers :
La méthode retrouve une sensibilisation aux déterminants carbohydrates (CCD), via MUX-F3, qui sont responsables de faux positifs in-vitro sans avoir de réelle pertinence clinique. Ces CCD peuvent induire en erreur l'interprétation des résultats d'IgE spécifiques dirigés contre des protéines natives ou des extraits naturels. Ainsi, il est très intéressant de savoir qu'un patient est sensibilisé aux CCD.
Je reste à votre disposition pour répondre à toutes vos requêtes.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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472
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11-230902-0014
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23/08/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 2,4,6,11), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1.
De même, on retrouve une nette sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, une sensibilisation au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur ainsi qu'à la lipocaline du chien (Can d 1). Cette dernière protéine est associée à des réactions croisées aux autres animaux .
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1, Der p 2, Der f 2.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja) et Ara h 8 (de l'arachide). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
De plus, la technique retrouve une faible sensibilisation à l'allergène du Kiwi Act d 1. Les symptômes sévères après ingestion de kiwi sont, en général, associés à des niveaux élevés d'IgE à Act d 1 et Act d 3.
D'autre part, on note une sensibilisation à la pro-hévéine (Hev b 6.01) qui est, quant à elle, concernée par les réactivités croisées latex-aliments végétaux (banane, kiwi, avocat...). Les IgE spécifiques de latex Hev b 6.01 sont également associées au syndrome latex-fruit (par ex. avocat, kiwi, châtaigne ou banane).
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1660
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11-230906-0020
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29/08/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 2,4,6,11), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1 ainsi qu'une sensibilisation au pollen de Chenopode, une herbacée.
De même, on retrouve une nette sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, une sensibilisation au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur et à la lipocaline du chien. Cette dernière protéine est associée à des réactions croisées aux autres animaux.
Ensuite, la sensibilisation à la protéine du chien, Can f 5, est mise en évidence. Cet allergène est reconnu par un grand nombre de patients allergiques au chien. Can f 5 complète Can f 1 et Can f 2 pour évaluer le risque clinique d’une allergie au chien. La réactivité croisée entre Can f 5 et la PSA humaine est associée à l’allergie au liquide séminal.
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1, Der p 2, Der f 2 mais également à Lep d 2 (un acarien de stockage) ainsi qu'à Blomia tropicalis (Blo t 5).
Enfin, il y a une sensibilisation pour la moisissure Alternaria (Alt a 1).
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Comme vous le verrez, cette technique permet de mettre en évidence une sensibilisation à diverses protéines de stockage des fruits à coque.
En effet, la sensibilisation concerne aussi bien des 2S-albumine, 11S-globuline originaires de noisette et arachide. De par l'allergénicité de ces protéines (stabilité à la chaleur et à la digestion), une éviction alimentaire est souvent recommandée. Néanmoins, ces résultats sont à confronter à la clinique du patient.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1666
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11-230926-0308
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25/09/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 4,6), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet de mettre en évidence quelques sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1 (PR-10) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia).
De même, on retrouve une nette sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, une sensibilisation au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur et sa lipocaline (Fel d 4). Cette dernière protéine est associée à des réactions croisées aux autres animaux comme le chien, le cheval (Equ c 1) et la souris (Mus m 1).
Les atteintes respiratoires sont d'autant plus sévères que le nombre de sensibilisations est important.
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1, Der p 2, Der f 2.
Enfin, il y a une sensibilisation pour Alternaria (Alt a 1).
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
De plus, la technique retrouve une faible sensibilisation à l'allergène du Kiwi Act d 2.
Act d 2 est une protéine thaumatine-like (TLP) dont la prévalence de réactivité reste discutée. Les symptômes sévères après ingestion de kiwi sont, en général, associés à des niveaux élevés d'IgE à Act d 1 et Act d 3. Le patient présente également des IgE spécifiques pour Act d 1.
Néanmoins, des cas d'allergie sévère dont l'origine serait une TLP ont été décrits pour divers aliments d'origine végétale.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1097
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11-231005-0159
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5/10/2023
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ALEXINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers un panel de plus de 280 extraits d’allergènes natifs et moléculaires représentés sur l'ALEX Array.
Ceci est complété par une évaluation semi-quantitative des IgE totales.
Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, une sensibilisation aux extraits d'épithélium de chèvre, de cheval, de mouton et de cochon est mise en évidence via ALEX Array.
- Allergènes alimentaires :
Comme vous le verrez, cette technique permet de mettre en évidence une sensibilisation à l'extrait du pois chiche, une légumineuse.
De même, une sensibilisation à l'extrait d'aïl est mise en évidence.
La technique met également en évidence une sensibilisation à l'extrait du jaune d'oeuf.
Enfin, le microarray met en évidence une sensibilisation à l'une des albumines sériques, à savoir Sus d 1, le recombinant du porc.
- Analyses semi-quantitatives :
- IgE totales : 444 kU/L.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ALEX Array sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1188
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11-231013-0017
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12/10/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 2,4), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet de mettre en évidence quelques sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1 mais aussi Cry j 1 du Cèdre du Japon et Cup a 1 du Cyprès.
De même, on retrouve une nette sensibilisation aux animaux via les lipocaline du chien et du chaval. Cette lipocaline est associée à des réactions croisées aux autres animaux.
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1, Der p 2, Der f 2.
- Allergènes alimentaires :
En ce qui concerne les fruits de mer, il est important de noter que votre patient est sensibilisé à différentes tropomyosines de la crevette (Pen m 1), de l'acarien (Der p 10) et de l'Anisakis (Ani s 3). Aussi, l'éviction de tout fruit de mer est parfois à recommander étant donné la potentielle sévérité des réactions allergiques.
Ce patient est à référer à un allergologue.
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1673
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11-231018-0355
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18/10/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 2,6).
La technique permet de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1.
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1, Der p 2, Der f 2.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
En ce qui concerne les fruits de mer, il est important de noter que votre patient est sensibilisé à l'un des allergène de la crevette (Pen m 4). Aussi, l'éviction des fruits de mer est parfois à recommander étant donné la sévérité potentielle des réactions allergiques. Un avis allergologique est recommandé.
Enfin, cette technique permet de mettre en évidence une sensibilisation à la protéine de stockage de la noix de cajou (Ana o 2). De par l'allergénicité de ces protéines (stabilité à la chaleur et à la digestion), une éviction alimentaire est souvent recommandée. Néanmoins, ces résultats sont à confronter à la clinique du patient.
- Allergènes divers :
Des IgE spécifiques dirgés contre Hev b 3 et Hev b 1 ont été trouvés.
Il a été démontré qu'Hev b 1 et 3 étaient très souvent IgE-réactifs chez les enfants atteints de spina bifida ou les multi-opérés.
Ceci serait lié aux écarts de répartition des allergènes entre face externe et face interne des gants, Hev b 1 et Hev b 3 étant plutôt majoritaire en face externe.
- Panallergènes :
Une sensibilisation aux polcalcines est retrouvée (Bouleau et Phléole). Ces protéines ont une large capacité de réactivité croisée entre elles.
L’absence de pertinence clinique d’une positivité pour les polcalcines semble assez bien établie. L’intérêt de cette famille d’allergènes réside donc dans l’explication de positivités à des pollens qui ne concordent pas avec les données cliniques.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1675
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11-231023-0373
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23/10/2023
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ALEXINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers un panel de plus de 280 extraits d’allergènes natifs et moléculaires représentés sur l'ALEX Array.
Ceci est complété par une évaluation semi-quantitative des IgE totales.
Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes alimentaires :
En ce qui concerne les fruits de mer, il est important de noter que votre patient est sensibilisé aux tropomyosines de la crevette (Pen m 1) et de l'acarien de stockage Blomia tropicalis (Blo g 10). Aussi, l'éviction des fruits de mer est parfois à recommander étant donné la sévérité potentielle des réactions allergiques.
De même, on retrouve une sensibilisation aux insectes comestibles via les allergènes de l'extrait de grillon et de lapin.
Des allergies respiratoires et alimentaires ont déjà été largement décrites chez les personnes travaillant au contact avec les grillons et chez les personnes consommant les insectes.
Comme vous le verrez, cette technique permet de mettre en évidence une sensibilisation à l'extrait d'une légumineuse, le pois chiche et à l'extrait de la Noix de Macadamia.
De même, une sensibilisation à la 2S-albumine du sésame est mise en évidence. De par l'allergénicité de ces protéines (stabilité à la chaleur et à la digestion), une éviction alimentaire est souvent recommandée. Néanmoins, ces résultats sont à confronter à la clinique du patient.
- Analyses semi-quantitatives :
- IgE totales : 1721 kU/L.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ALEX Array sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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181
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11-231115-0040
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15/11/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation à l'un des allergènes « mineurs » de la Phléole des prés (Phl p 6).
La technique permet de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1.
Enfin, il y a une sensibilisation à quelques allergènes de moisissures comme le Cladosporium (Cla h 8) et Alternaria (Alt a 6).
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
On note une sensibilisation à Pen m 4 de la crevette géante tigrée (Penaeus monodon).
- Panallergènes :
Le microarray met en évidence une sensibilisation à l'une des profilines représentées dans le panel, à savoir Bet v 2 (du bouleau). Comme vous le savez, les profilines sont des panallergènes rarement associés à des symptômes mais peuvent avoir une importance clinique et même provoquer des réactions sévères chez une petite minorité de patients allergiques notamment au citron, au melon, à la banane, au litchi et à la tomate.
- Divers :
La méthode retrouve une sensibilisation aux déterminants carbohydrates (CCD), via MUX-F3, qui sont responsables de faux positifs in-vitro sans avoir de réelle pertinence clinique. Ces CCD peuvent induire en erreur l'interprétation des résultats d'IgE spécifiques dirigés contre des protéines natives ou des extraits naturels. Ainsi, il est très intéressant de savoir qu'un patient est sensibilisé aux CCD.
Je reste à votre disposition pour répondre à toutes vos requêtes.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1247
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11-231120-0273
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20/11/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 4,11).
La technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia).
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1, Der p 2, Der f 2.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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952
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11-231207-0364
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28/11/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
Ensuite, la technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia) et Cup a 1 du Cyprès.
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au pollen d'une herbacée : l'Armoise.
De même, on retrouve une nette sensibilisation au chat via l'utéroglobine (Fel d 1), un allergène majeur.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Ara h 8 (de l'arachide). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1416
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11-231129-8226
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24/11/2023
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation à l'un des allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1) et mineurs (Phl p 2), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet également de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia).
De même, on retrouve une nette sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, une sensibilisation au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur et sa lipocaline (Fel d 4). Cette dernière protéine est associée à des réactions croisées aux autres animaux comme le chien (Can f 1), le cheval (Equ c 1) et la souris (Mus m 1). Ensuite, la sensibilisation à la protéine du chien, Can f 5, est mise en évidence. Cet allergène est reconnu par un grand nombre de patients allergiques au chien. La réactivité croisée entre Can f 5 et la PSA humaine est associée à l’allergie au liquide séminal.
Les atteintes respiratoires sont d'autant plus sévères que le nombre de sensibilisations est important.
- Allergènes alimentaires :
Comme annoncé précédemment, la technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Enfin, la présence d'IgE spécifiques dirigés contre la protéine du blé Tri a 19 est retrouvée. Il s'agit de l'oméga-5 gliadine.
La consommation des aliments contenant la farine de blé avant un effort physique doit être évitée. Une anaphylaxie à l'effort est possible. Il s'agit d'une réaction IgE dépendante, différente d'une maladie coeliaque. En dehors de l'effort, la consommation des aliments à base de blé et de ses dérivés ne posera pas de problème.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1664
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11-231206-0154
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4/12/2023
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ALEXINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers un panel de plus de 280 extraits d’allergènes natifs et moléculaires représentés sur l'ALEX Array.
Ce panel est complété par une évaluation semi-quantitative des IgE totales.
Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
Le panel n'étant pas parfaitement exhaustif, un résultat complètement négatif n'exclut pas une allergie.
- Allergènes respiratoires :
La technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0103 (PR-10 du noisetier) et du hêtre (Fag s 1).
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille.
Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Dau c 1 (carotte), Ara h 8 (de l'arachide).
Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur.
Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit (Poire, IgE anti-extrait positif).
- Analyse semi-quantitative des IgE totales = 155 kU/L.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ALEX Array sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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694
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11-240308-0482
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8/03/2024
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation à l'un des allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
De même, on retrouve une nette sensibilisation au chien via notament sa lipocaline (Can f 1). Cette dernière protéine est associée à des réactions croisées aux autres animaux.
De plus, la sensibilisation à la protéine du chien Can f 5, est mise en évidence. Cet allergène est reconnu par un grand nombre de patients allergiques au chien. Can f 5 complète Can f 1 et Can f 2 pour évaluer le risque clinique d’une allergie au chien. La réactivité croisée entre Can f 5 et la PSA humaine est associée à l’allergie au liquide séminal.
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1, Der p 2, Der f 2 mais également à Lep d 2 (un acarien de stockage).
- Allergènes alimentaires :
Comme vous le verrez, cette technique permet de mettre en évidence une sensibilisation à diverses protéines de stockage des fruits à coque et légumineuses.
En effet, la sensibilisation concerne des 2S-albumine originaires de la noix du Brésil et de l'arachide.
De par l'allergénicité de ces protéines (stabilité à la chaleur et à la digestion), une éviction alimentaire est souvent recommandée.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1785
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11-240308-0539
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7/03/2024
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 4,6).
La technique permet également de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia).
De plus, une sensibilisation pour la moisissure Alternaria alternata est également retrouvée.
De même, on retrouve une nette sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, une sensibilisation au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur. Ensuite, la sensibilisation à la protéine du chien, Can f 5, est mise en évidence. Cet allergène est reconnu par un grand nombre de patients allergiques au chien. La réactivité croisée entre Can f 5 et la PSA humaine est associée à l’allergie au liquide séminal.
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1 mais également à Lep d 2 (un acarien de stockage).
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Pru p 1 (de la pêche), Ara h 8 (de l'arachide). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Enfin, la technique retrouve une faible sensibilisation à l'allergène du Kiwi Act d 2.
Act d 2 est une protéine thaumatine-like (TLP) dont la prévalence de réactivité reste discutée. Les symptômes sévères après ingestion de kiwi sont, en général, associés à des niveaux élevés d'IgE à Act d 1 et Act d 3.
Néanmoins, des cas d'allergie sévère dont l'origine serait une TLP ont été décrits pour divers aliments d'origine végétale.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
PS : Je n'avais malheureusement aucune information clinique justifiant le besoin de la réalisation de cette analyse.
Joint au protocole, recevez un exemple de feuille de prescription d'un ImmunoCAP ISAC au CHU de LIEGE.
Il reprends un formulaire de consentement éclairé du patient.
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Details
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774
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11-240327-5986
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27/03/2024
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ALEXINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers un panel de plus de 280 extraits d’allergènes natifs et moléculaires représentés sur l'ALEX Array.
Ce panel est complété par une évaluation semi-quantitative des IgE totales.
Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
Le panel n'étant pas parfaitement exhaustif, un résultat complètement négatif n'exclut pas une allergie.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, ALEX Array permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1) et à l'Ivraie (Lol p 1).
Le panel est complété par une sensibilisation à l'extrait de Seigle.
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation aux pollens du Platane, via la LTP Pla a 2.
Ensuite, l'ALEX Array permet de mettre en évidence des IgE spécifiques des herbacées comme des IgE anti-Armoise, via Art v 1 et 3.
Des IgE spécifiques du Chanvre sont également mis en évidence, et plus précisément envers la LTP du Chanvre, Can s 3.
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1, Der p 2, Der f 2, Der p 5, Der p 7, Der p 21 et Der p 23 mais également à Blomia tropicalis (Blo t 5 et 21), un acarien de stockage.
De même, on retrouve une nette sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, une sensibilisation au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur.
Ensuite, la sensibilisation à l'extrait d'urine de chien mâle incluant la protéine du chien, Can f 5, est mise en évidence.
Cet allergène est reconnu par un grand nombre de patients allergiques au chien.
Can f 5 complète Can f 1 et Can f 2 pour évaluer le risque clinique d’une allergie au chien.
La réactivité croisée entre Can f 5 et la PSA humaine est associée à l’allergie au liquide séminal.
- Allergènes alimentaires :
Une sensibilisation à différentes protéines de transfert lipidique (LTP) est mise en évidence.
En effet, des IgE dirigés contre toutes les protéines de cette famille du panel (d'origines variées : pêche, arachide, blé, maïs, kiwi, pomme, raisin, céleri, tomate, noisette, armoise, noix, platane, chanvre et pariétaire) sont retrouvés à des taux importants. Il est très important d'évaluer le besoin d'une éviction alimentaire des aliments contenant des LTP lorsque des symptômes cliniques sont associés à leur consommation. En effet, l'allergie aux LTP est associée à la survenue de symptômes sévères an cas de consommation d'aliments crus ou cuits.
Pour ce qui est de la sensibilisation à la fraise, représentée par un mix des composants "Fra a 1 (PR-10) et Fra e 3 (LTP)", la technique ALEX ne sait déterminer à quel allergène le patient a réagi spécifiquement puisqu'il s'agit d'un mix PR-10 et LTP.
- Analyse semi-quantitative des IgE totales = 323 kU/L.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ALEX Array sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1717
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11-240503-0369
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3/05/2024
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ALEXINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers un panel de plus de 280 extraits d’allergènes natifs et moléculaires représentés sur l'ALEX Array.
Ce panel est complété par une évaluation semi-quantitative des IgE totales.
Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
Le panel n'étant pas parfaitement exhaustif, un résultat complètement négatif n'exclut pas une allergie.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, ALEX Array permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment à l'extrait d'Herbe de Bahia mais aussi aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 2,6 et 12), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1) et à l'Ivraie (Lol p 1). Le panel est complété par une sensibilisation à l'extrait de Seigle.
La technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0103 (PR-10 du noisetier), l'extrait de Noyer et au hêtre (Fag s 1). De même, des IgE spécifiques anti-extrait de dattier sont retrouvés.
Ensuite, l'ALEX Array permet de mettre en évidence des IgE spécifiques des herbacées comme des IgE anti-Mercuriale.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille.
Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Dau c 1 (carotte), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri).
Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit. Pour ce qui est de la sensibilisation à la fraise, représentée par un mix des composants "Fra a 1 (PR-10) et Fra e 3 (LTP)", la technique ALEX ne sait déterminer à quel allergène le patient a réagi spécifiquement puisqu'il s'agit d'un mix PR-10 et LTP.
Notons une sensibilisation à l'extrait de la poire, une rosacée.
- Panallergènes :
Le microarray met en évidence une sensibilisation à différentes profilines représentées dans le panel, à savoir Bet v 2 (du bouleau), Hev b 8 (du latex), Mer a 1 (de la mercuriale), Pho d 2 (du dattier), Cuc m 2 (du melon) et Phl p 12 (de la fléole). Comme vous le savez, les profilines sont des panallergènes rarement associés à des symptômes mais peuvent avoir une importance clinique et même provoquer des réactions sévères chez une petite minorité de patients allergiques notamment au citron, au melon, à la banane, au litchi et à la tomate.
- Analyse semi-quantitative des IgE totales = 1850 kU/L.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ALEX Array sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1745
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11-240515-0151
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8/05/2024
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
La technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia).
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 2, Der f 2.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Ara h 8 (de l'arachide). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
En ce qui concerne les fruits de mer, il est important de noter que votre patient est sensibilisé à 2 tropomyosines dont celle de l'acarien (Der p 10) et de la blatte (Bla g 7). Ainsi, l'éviction des fruit de mer/crustacés est parfois à recommander. Un avis allergologique est important à considérer.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
PS : Je n'avais malheureusement aucune information clinique justifiant le besoin de la réalisation de cette analyse.
Joint au protocole, recevez un exemple de feuille de prescription d'un ImmunoCAP ISAC au CHU de LIEGE.
Il reprends un formulaire de consentement éclairé du patient.
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Details
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1104
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11-240624-0088
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24/06/2024
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ALEXINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers un panel de plus de 280 extraits d’allergènes natifs et moléculaires représentés sur l'ALEX Array.
Ce panel est complété par une évaluation semi-quantitative des IgE totales.
Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
Le panel n'étant pas parfaitement exhaustif, un résultat complètement négatif n'exclut pas une allergie.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, ALEX Array permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment à l'extrait d'Herbe de Bahia mais aussi aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 2,6), ainsi qu'à l'Ivraie (Lol p 1) et à l'extrait de l'herbe de Bahia. Le panel est complété par une sensibilisation à l'extrait de Seigle.
La technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier, frêne, hêtre et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia).
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1, Der p 2, Der f 2, Der p 5, Der p 21 et Der p 23 mais également à Lep d 2, Tyr p 2 et Gly d 2 (3 acariens de stockage).
De même, Alex Array retrouve une sensibilisation à la moisissure Alternaria, représentée par l'allergène Alt a 1 ainsi qu'une sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur et au chien via la même famille protéique. Ensuite, la sensibilisation à l'extrait d'urine de chien mâle incluant la protéine du chien, Can f 5, est mise en évidence. Cet allergène est reconnu par un grand nombre de patients allergiques au chien. Can f 5 complète Can f 1 et Can f 2 pour évaluer le risque clinique d’une allergie au chien. La réactivité croisée entre Can f 5 et la PSA humaine est associée à l’allergie au liquide séminal.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille.
Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Dau c 1 (carotte), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri).
Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit. Pour ce qui est de la sensibilisation à la fraise, représentée par un mix des composants "Fra a 1 (PR-10) et Fra e 3 (LTP)", la technique ALEX ne sait déterminer à quel allergène le patient a réagi spécifiquement puisqu'il s'agit d'un mix PR-10 et LTP.
Une sensibilisation faible est démontrée pour le lait de jument.
- Analyse semi-quantitative des IgE totales = 416 kU/L.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ALEX Array sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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542
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11-240624-0456
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20/06/2024
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 4,6), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1.
La technique permet également de mettre en évidence une sensibilisation au pollen d'une herbacée, l'Armoise.
De même, on retrouve une nette sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, une sensibilisation au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur et sa lipocaline (Fel d 4). Cette dernière protéine est associée à des réactions croisées aux autres animaux comme le chien (Can f 1), le cheval et la souris.
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1, Der p 2, Der f 2.
Enfin, il y a une sensibilisation pour la moisissure Aspergillus fumigatus (Asp f 6).
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Comme vous le verrez, cette technique permet de mettre en évidence une sensibilisation à diverses protéines de stockage des fruits à coque. En effet, la sensibilisation concerne des 2S-albumine originaires de la noix du Brésil et de l'arachide. De par l'allergénicité de ces protéines (stabilité à la chaleur et à la digestion), une éviction alimentaire est souvent recommandée. Néanmoins, ces résultats sont à confronter à la clinique du patient.
- Panallergènes :
Le microarray met en évidence une sensibilisation aux différentes profilines représentées dans le panel, à savoir Bet v 2 (du bouleau), Hev b 8 (du latex), Mer a 1 (de la mercuriale) et Phl p 12 (de la fléole). Comme vous le savez, les profilines sont des panallergènes rarement associés à des symptômes mais peuvent avoir une importance clinique et même provoquer des réactions sévères chez une petite minorité de patients allergiques notamment au citron, au melon, à la banane, au litchi et à la tomate.
Je reste à votre disposition pour répondre à toutes vos requêtes.
Bien confraternellement,
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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620
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11-240703-0456
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3/07/2024
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
La technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia).
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
On note une sensibilisation à Pen m 2 de la crevette géante tigrée (Penaeus monodon).
Il a été observé une allergénicité croisée entre Pen m 2, une arginine kinase et d'autres crustacés. En effet, Pen m 2 montre une similarité d'approximativement 90% vis a vis d'arginine kinases provenant d'autres espèces de crevette (Marsupenaeus japonicus), du homard (Homarus gammarus), et de l'écrevisse (Procamvarus clarkii). Pen m 2 est néanmoins considéré comme un allergène mineur.
Une sensibilisation à la protéine de transfert lipidique de l'arachide est mise en évidence via cette technique. Il est recommandé de confronter ce résultat à la clinique du patient avant toute éviction alimentaire. En effet, l'allergie aux LTP est associée à la survenue de symptômes sévères en cas de consommation de l'aliment cru ou cuit.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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625
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11-240704-0566
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4/07/2024
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 2,4,6), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia).
De même, on retrouve une nette sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, une sensibilisation au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur. On retrouve également une sensibilisation à la lipocaline du chien. Cette dernière protéine est associée à des réactions croisées aux autres animaux.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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215
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11-240731-0377
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30/07/2024
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ALEXINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers un panel de plus de 280 extraits d’allergènes natifs et moléculaires représentés sur l'ALEX Array.
Ce panel est complété par une évaluation semi-quantitative des IgE totales.
Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
Le panel n'étant pas parfaitement exhaustif, un résultat complètement négatif n'exclut pas une allergie.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, ALEX Array permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment à l'extrait d'Herbe de Bahia mais aussi aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 5) et mineurs (Phl p 2 et 12), ainsi qu' à l'Ivraie (Lol p 1).
Le panel est complété par une sensibilisation à l'extrait de Seigle.
La technique permet de mettre en évidence quelques sensibilisations aux pollens d'arbres comme. En effet, nous retrouvons des IgEs dirigés contre la profiline du bouleau, l'extrait de dattier, l'extrait d'Acacia et la LTP du platane.
Ensuite, l'ALEX Array permet de mettre en évidence des IgE spécifiques des allergènes des herbacées comme des IgE anti- Armoise et Mercuriale.
- Allergènes alimentaires :
Une sensibilisation à différentes protéines de transfert lipidique (LTP) est mise en évidence via cette technique.
En effet, des IgE dirigés contre plusieurs protéines de cette famille (d'origines variées : pêche, arachide, pomme, raisin, céleri, armoise, platane) sont retrouvés à des taux faibles. Il est très important d'évaluer le besoin d'une éviction alimentaire des aliments contenant des LTP lorsque des symptômes cliniques sont associés à leur consommation. En effet, l'allergie aux LTP est associée à la survenue de symptômes sévères an cas de consommation d'aliments crus ou cuits.
- Panallergènes :
Le microarray met en évidence une sensibilisation à différentes profilines représentées dans le panel, à savoir Bet v 2 (du bouleau), Mer a 1 (de la mercuriale), Pho d 2 (du dattier), Cuc m 2 (du melon) et Phl p 12 (de la fléole). Comme vous le savez, les profilines sont des panallergènes rarement associés à des symptômes mais peuvent avoir une importance clinique et même provoquer des réactions sévères chez une petite minorité de patients allergiques notamment au citron, au melon, à la banane, au litchi et à la tomate.
- Analyse semi-quantitative des IgE totales = 273 kU/L.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ALEX Array sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1048
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11-240802-0106
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1/08/2024
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 4,6), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
Ensuite, la technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) mais également à Cry j 1 du Cèdre du Japon et Cup a 1 du Cyprès.
De même, on retrouve une nette sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, une sensibilisation au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur et à la lipocaline du chien (Can f 1). Cette dernière protéine est associée à des réactions croisées aux autres animaux. Ensuite, la sensibilisation à la protéine du chien, Can f 5, est mise en évidence. Cet allergène est reconnu par un grand nombre de patients allergiques au chien. Can f 5 complète Can f 1 et Can f 2 pour évaluer le risque clinique d’une allergie au chien. La réactivité croisée entre Can f 5 et la PSA humaine est associée à l’allergie au liquide séminal.
Enfin, il y a une faible sensibilisation pour la moisissure Cladosporium.
- Allergènes alimentaires :
Une sensibilisation à la protéine de transfert lipidique de l'arachide et du platane est mise en évidence via cette technique. Il est recommandé de confronter ce résultat à la clinique du patient avant toute éviction alimentaire. En effet, l'allergie aux LTP est associée à la survenue de symptômes sévères en cas de consommation de l'aliment cru ou cuit.
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
PS : Je n'avais malheureusement aucune information clinique justifiant le besoin de la réalisation de cette analyse.
Joint au protocole, recevez un exemple de feuille de prescription d'un ImmunoCAP ISAC au CHU de LIEGE.
Il reprends un formulaire de consentement éclairé du patient.
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Details
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1772
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11-240813-0423
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12/08/2024
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ALEXINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers un panel de plus de 280 extraits d’allergènes natifs et moléculaires représentés sur l'ALEX Array.
Ce panel est complété par une évaluation semi-quantitative des IgE totales.
Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
Le panel n'étant pas parfaitement exhaustif, un résultat complètement négatif n'exclut pas une allergie.
- Allergènes respiratoires :
Absence de sensibilisation aux allergènes respiratoires testés.
- Allergènes alimentaires :
Comme vous le verrez, cette technique permet de mettre en évidence une sensibilisation à diverses protéines de stockage des fruits à coque et légumineuses. En effet, la sensibilisation concerne aussi bien des 11S-albumine, 7S globuline originaires de noisette, noix, soja et arachide. Une multitude d'IgE spécifiques anti-extraits de légumineuses et fruits à coques sont égalements présents (pois chiche, lentille, pois, haricot vert, graine de lupin, amande, graine de courge, graine de tournesol et de fenugrec). De par l'allergénicité de ces protéines (stabilité à la chaleur et à la digestion), une éviction alimentaire est souvent recommandée. Néanmoins, ces résultats sont à confronter à la clinique du patient.
Une sensibilisation aux allergènes de la morue est démontrée par la positivité des IgE spécifiques de l'extrait et de la mixture de composants Gad m 2/Gad c 3. Des IgE spécifiques contre l'extrait de moule sont également retrouvés. Etant donnés les symptômes parfois sévères associés à ce type de sensibilisation, l'éviction des poissons/fruits de mer est à évaluer. Une prise en charge allergologique est vivement recommandée.
De même, on retrouve une sensibilisation aux viandes de boeuf et de poulet via les allergènes de l'extrait de poulet et Bos d 6, une protéine sérique bovine.
- Analyse semi-quantitative des IgE totales = 173kU/L.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ALEX Array sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1775
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11-240821-0126
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16/08/2024
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ALEXINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers un panel de plus de 280 extraits d’allergènes natifs et moléculaires représentés sur l'ALEX Array.
Ce panel est complété par une évaluation semi-quantitative des IgE totales.
Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
Le panel n'étant pas parfaitement exhaustif, un résultat complètement négatif n'exclut pas une allergie.
- Allergènes respiratoires :
La technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia).
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille.
Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Gly m 4 (du soja), Ara h 8 (de l'arachide). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit. Pour ce qui est de la sensibilisation à la fraise, représentée par un mix des composants "Fra a 1 (PR-10) et Fra e 3 (LTP)", la technique ALEX ne sait déterminer à quel allergène le patient a réagi spécifiquement puisqu'il s'agit d'un mix PR-10 et LTP.
Une sensibilisation à l'allergène mineur du Bouleau Bet v 6 est également mise en évidence. Cette isoflavone reductase a été décrite comme responsable de réactions croisées avec la poire (sensibilisation à l'extrait démontrée ici), le litchi, le kaki, la mangue et l'orange. Il y a peu de travaux au sujet de cet allergène dont la réactivité croisée pourrait intéresser certaines formes d’allergie alimentaire.
- Analyse semi-quantitative des IgE totales = 137 kU/L.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ALEX Array sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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781
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11-240827-0420
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26/08/2024
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires et alimentaires :
Tout d'abord, la technique permet de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1.
Cette protéine PR-10 a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
La technique met également en évidence une sensibilisation à l'un des allergènes du lait de vache (Bos d lactoferrine).
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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1777
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11-240829-0245
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27/08/2024
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineurs (Phl p 2,4,6), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia).
De même, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 2, Der f 2.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
Une sensibilisation à la protéine de transfert lipidique de la noix est mise en évidence via cette technique. Il est recommandé de confronter ce résultat à la clinique du patient avant toute éviction alimentaire. En effet, l'allergie aux LTP est associée à la survenue de symptômes sévères en cas de consommation de l'aliment cru ou cuit.
- Panallergènes :
Le microarray met en évidence une sensibilisation aux différentes profilines représentées dans le panel, à savoir Bet v 2 (du bouleau), Hev b 8 (du latex), Mer a 1 (de la mercuriale) et Phl p 12 (de la fléole). Comme vous le savez, les profilines sont des panallergènes rarement associés à des symptômes mais peuvent avoir une importance clinique et même provoquer des réactions sévères chez une petite minorité de patients allergiques notamment au citron, au melon, à la banane, au litchi et à la tomate.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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497
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11-240830-0349
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29/08/2024
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ISACINT
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Interprétation du microarray
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Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue.
- Allergènes respiratoires :
Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation aux allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1 et Phl p 5) et mineur (Phl 4), ainsi qu'au Chiendent (Cyn d 1).
La technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'arbres (bouleau, aulne, noisetier et olivier) via l'allergène « majeur » du bouleau Bet v 1, Aln g 1 (PR-10 du Aulne), Cor a 1.0101 (PR-10 du noisetier) et via Ole e 1 de l'olivier (cette protéine naturelle purifiée est le représentant des pollens de frêne, de ligustrum, de forsythia).
Comme vous le verrez, la technique de microarray retrouve quelques sensibilisations aux allergènes des acariens (Dermatophagoides farinae et pteronyssinus), à savoir : Der p 1, Der f 1, Der p 2, Der f 2.
La technique permet de mettre en évidence de nombreuses sensibilisations aux pollens d'armoise, une herbacée.
De même, on retrouve une nette sensibilisation à l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur.
- Allergènes alimentaires :
La technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide) et Api g 1 (du céleri). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur (à l'exception de Api g 1 du céleri, plus thermostable). Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru.
- Panallergènes :
Le microarray met en évidence une sensibilisation aux différentes profilines représentées dans le panel, à savoir Bet v 2 (du bouleau), Hev b 8 (du latex) et Mer a 1 (de la mercuriale). Comme vous le savez, les profilines sont des panallergènes rarement associés à des symptômes mais peuvent avoir une importance clinique et même provoquer des réactions sévères chez une petite minorité de patients allergiques notamment au citron, au melon, à la banane, au litchi et à la tomate.
Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique.
Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue.
Bien confraternellement,
Romy GADISSEUR
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Details
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