Patient 1466 (4458699H)

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Start date Service name Colid Value (original)
15/12/2023 Dermatologie EXAM_CLI § Biologie du 09/11/2023 : ALLERGIE - méthode Phadia 1000 - : Interprétation du microarray : Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue. - Allergènes respiratoires : Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation à l'un des allergènes ' majeurs ' de la Phléole des prés (Phl p 1). La technique permet de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène ' majeur ' Bet v 1. De même, on retrouve une nette sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, une sensibilisation au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur et sa lipocaline (Fel d 4). Cette dernière protéine est associée à des réactions croisées aux autres animaux comme le chien, le cheval (Equ c 1) et la souris (Mus m 1). Ensuite, la sensibilisation à la protéine du chien, Can f 5, est mise en évidence. Cet allergène est reconnu par un grand nombre de patients allergiques au chien. Can f 5 complète Can f 1 et Can f 2 pour évaluer le risque clinique d’une allergie au chien. La réactivité croisée entre Can f 5 et la PSA humaine est associée à l’allergie au liquide séminal. Les atteintes respiratoires sont d'autant plus sévères que le nombre de sensibilisations est important. - Allergènes alimentaires : Enfin, la technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru. Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique. Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue. Bien confraternellement, Romy GADISSEUR. Détermination IgE spécifiques (Méthode ImmunoCAP ISAC) : Le protocole de l'ImmunoCAP ISAC est fourni en annexe. Pour toute question concernant l'interprétation médicale de cette analyse, veuillez contacter le biologiste au 04/323.45.21 entre 9h et 18h.. DONNEES CLINIQUES: Confraternellement, Ph. Biol. R. DENOOZ : Médecin prescripteur : LIBON FLORENCE : . Copie Cyberlab à LIBON FLORENCE 16892153550 Copie OmniPro_Ireport_PDF à LIBON FLORENCE 16892153550 : Les informations relatives aux analyses (valeurs de références, intérêt du dosage, accréditation BELAC 128MED,...) sont : disponibles sur notre site internet à l'adresse http://www.chuliege.be/labo/analyses. :

Prick Test Results

Start date Peanut Soy Diameter peanut Diameter soy
9/11/2023 + -

IgE Results

Demographic nr Sample date F13
Peanut extract
F447
Peanut rAra h6
F427
Peanut rAra h9
F423
Peanut rAra h2
F422
Peanut rAra h1
F353
Peanut rGly m4
F431
Peanut nGly m5
F432
Peanut nGly m6
F14
Soybean extract
F309
Chickpea extract
F235
Lentil extract
F12
Pea extract
11-231020-5989 20/10/2023 5.11 0.01 0.02

Isac Test Results

Demographic nr Sample date Analyse id Analyse llib Raw result Numerical result
11-231109-0440 9/11/2023 ISACINT Interprétation du microarray Le compte-rendu synthétise les réactivités IgE envers les 112 allergènes représentés sur la puce ImmunoCAP ISAC. Les commentaires sont fournis à titre indicatif étant donné que les résultats positifs sont considérés comme des sensibilisations. L'allergie doit être confirmée/infirmée par un allergologue. - Allergènes respiratoires : Tout d'abord, le microarray permet de retrouver une sensibilisation aux pollens de graminées, notamment une sensibilisation à l'un des allergènes « majeurs » de la Phléole des prés (Phl p 1). La technique permet de mettre en évidence une forte sensibilisation au pollen de bouleau (arbre très commun dans le nord de l'Europe) via l'allergène « majeur » Bet v 1. De même, on retrouve une nette sensibilisation aux animaux. Tout d'abord, une sensibilisation au chat via l'utéroglobine du chat (Fel d 1), un allergène majeur et sa lipocaline (Fel d 4). Cette dernière protéine est associée à des réactions croisées aux autres animaux comme le chien, le cheval (Equ c 1) et la souris (Mus m 1). Ensuite, la sensibilisation à la protéine du chien, Can f 5, est mise en évidence. Cet allergène est reconnu par un grand nombre de patients allergiques au chien. Can f 5 complète Can f 1 et Can f 2 pour évaluer le risque clinique d’une allergie au chien. La réactivité croisée entre Can f 5 et la PSA humaine est associée à l’allergie au liquide séminal. Les atteintes respiratoires sont d'autant plus sévères que le nombre de sensibilisations est important. - Allergènes alimentaires : Enfin, la technique permet de mettre en évidence une sensibilisation au bouleau via l'allergène Bet v 1 (protéine PR-10) qui a la particularité d'engendrer des sensibilisations croisées avec d'autres protéines de la même famille. Dans le cas de ce patient, nous retrouvons une sensibilisation à Cor a 1.0401 (de la noisette), Mal d 1 (de la pomme), Pru p 1 (de la pêche), Gly m 4 (du soja), Act d 8 (du kiwi), Ara h 8 (de l'arachide). Ces sensibilisations sont généralement responsables d'un syndrome oral allergique et n'entraînent pas ce type de symptômes lorsque l'aliment est cuit préalablement. En effet, ces protéines ont la particularité d'être instables à la chaleur. Il est à noter que les fruits des rosaceae, en particulier, contiennent ce type de protéines et peuvent engendrer des symptômes lors de l'ingestion du fruit cru. Bien évidemment, les renseignements fournis par l'ImmunoCAP ISAC sont à confronter à la clinique. Les décisions cliniques sont à prendre en concertation avec l'allergologue. Bien confraternellement, Romy GADISSEUR